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Un seul-en-scène magnifiquement interprété par Clément Thirion, dans lequel la fiction dérape sans fin vers les rives de l’absurde, dévoilant les mirages qui servent de toile de fond à notre quotidien.
Dans Stanley, Simon Thomas transforme un jeu vidéo en un seul-en-scène virtuose et sans parole où brille Clément Thirion. Un jour sans fin au bureau, entre éclairs gores et humour absurde.
Imaginez la série « The Office », trempée dans du Beckett, frit à l’huile de Tati, saupoudrée d’une pincée de Hitchcock, avec quelques épices empruntées au film d’horreur. C’est la nouvelle pièce de Simon Thomas à l’Atelier 210 à Bruxelles puis sur Mars à Mons.
Du grand art !
Un projet de La Horde Furtive
Un projet initié par Simon Thomas
Conçu ensemble avecThibaut De Coster, Véronique Dumont, Héloïse Jadoul, Iris Julienne, Charly Kleinermann, Clément Thirion et Thomas Turine
Et rendu possible grâce au travail de Camille Bono, Angela Massoni, Jean-François Philips, Alice Spenlé, Olivier Vincent et Yorrick Detroy
Interprétation Clément Thirion accompagné par Yorrick Detroy
Création en janvier 2021 à Bruxelles
Une coproduction de l'Atelier 210 et de Mars - Mons Arts de la scène
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service du Théâtre
Dans un décor reproduisant le jeu vidéo The Stanley Parable, inspiré en 2013 par la vie de bureau répétitive, un seul acteur (Clément Thirion, clown silencieux brillamment économe de ses effets) est aux manettes d’une machinerie infernale. L’aliénation au travail y transparaît sous le double filtre de Magritte et de Buster Keaton. Ce drôle de mélange, immédiatement hilarant, tient grâce à une écriture scénique au cordeau qui a valu à cette œuvre le prix de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques. On avait rarement autant ri en plus de dix ans d’Impatience...