Organisé en collaboration avec l'Association de Technicien·ne·s Professionnel·le·s du Spectacle (ATPS) et avec Technicienne, une plateforme qui visibilise et outille les femmes et minorités de genre qui travaillent comme techniciennes dans les arts et la culture, porté par Face B.
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Dans une maison de campagne, le temps est une longue attente. La seule échappatoire de ses habitant·es est d’imaginer l’ailleurs. On suit le cours d’une vie comme celui des conversations. Pourtant, si on parle de tout, c’est pour mieux étouffer l’essentiel. Jasmina Douieb ausculte une dynamique familiale, minée par le secret.
Auteur Oriza Hirata
Mise en scène Jasmina Douieb
Assistanat à la mise en scène Alexandre Drouet
Interprète(s) principal(aux) Fanny Bonifait, Fanny Brulé Kopp, Anne-Pascale Clairembourg, Raphaëlle Corbisier, Manoël Dupont, Julie Duroisin, Sasha Martelli, Hervé Piron, Caroline Riego Maidana, Benoît Van Dorslaer et Jonas Wertz
Chorégraphie et mouvement Ikue Nakagawa et Taka Shamoto
Scénographie Ruimtevaarders (Karolien De Schepper et Christope Engels)
Costumes Anne Guilleray assistée de Chandra Vellut
Création sonore et musicale Thomas Turine
Création lumière Aurore Leduc
Régie générale Jean-Maël Guyot
Maquillage et coiffures Jill Wertz
Accompagnement en production, diffusion et développement Ad Lib · Support d’artistes
Remerciements à l’atelier du Varia : Fabienne Damiean, Valentine Dumont, Léna Henry, Isaline Vanlangendonck
Une création de la Compagnie Entre Chiens et Loups
Une production déléguée du Théâtre Varia
En coproduction avec le Vilar (Louvain-la-Neuve), le Théâtre de Liège, le Centre des Arts Scéniques, la COOP asbl et Shelterprod
Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre
Avec le soutien de taxshelter.be, ING et du tax-shelter du Gouvernement fédéral belge
Jasmina Douieb est artiste associée au Théâtre Varia et au Vilar.
Avec Post Mortem, Jasmina Douieb replace le deuil au centre et invite les gens à consacrer un peu de temps à considérer la mort pour vivre pleinement. Son enquête et son vécu rappellent la fragilité de l’humain, son imperfection, sa mortalité. Notre passage est éphémère et c’est précisément ce qui en fait toute sa beauté.